Maître de conférences en géographie
Sur rendez-vous : Campus Jourdan (Bureau R6-32)
Email : pauline.guinard[at]ens.fr
01/09/2021-28/02/2023 : délégation CNRS au sein du Laboratoire Pacte
Responsabilités collectives
Responsabilités administratives au sein de l’ENS
Jury de concours
Hors ENS
A l’ENS
2021-2022 : Participation au projet de l’Université pontificale catholique de Valparaíso “Nuevas territorialidades del quehacer profesional en tiempo de COVID19 : un estudio internacional sobre subjetividades profesionales en intervención social”
Porté par Sandra Iturrieta, ce projet cherche à favoriser l´émergence de collaborations et la formation de réseaux de chercheurs sur les nouvelles territorialités du travail professionnel suscitées par la pandémie de COVID-19. Plus particulièrement, il s’intéresse à la dimension subjective et émotionnelle des territorialités des travailleurs dans le champ de l’action sociale.
Porté par Colin Clément, ce projet interdisciplinaire (sociologie, anthropologie, géographie) financé par le gouvernement chilien s’intéresse au rôle de la nostalgie dans l’organisation des villes du Sud (Chili, Mexique, Afrique du Sud).
Organisé par l’artiste Ema Drouin dans son Atelier de curiosité urbaine à Malakoff, ce projet de création-recherche est une invitation à réfléchir de manière collective et participative à la ville en transformation. Il est financé par le CGET, la DRAC Ile-de-France, Paris-Habitat et la ville de Malakoff.
Membre du comité d’éthique et de réflexion sur les pratiques de terrain, je suis invité à participer aux activités de cette ANR portée par Valérie Gélézeau, qui réunit l’EHESS, l’EFEO et l’Université de Leyde et s’inscrit dans la suite du projet PSL CREAK (voir ci-dessous). Il vise à promouvoir une approche engagée et pluridisciplinaire de la ville en Corée du Nord.
Ce projet réunit des jeunes chercheurs et enseignants-chercheurs travaillant sur les relations entre art et ville, à partir de divers types d’activités artistiques (art plastique, musique, littérature, cinéma) et dans différentes villes du monde. Il a obtenu un financement de la Fondation Maison des sciences de l’homme (FMSH) de 2 ans (2016 et 2017) : voir.
S’inscrivant dans la suite du précédent projet (voir ci-dessous), ce projet vise à mener des actions pluridisciplinaires (sciences sociales, art et urbanisme) associant chercheurs et artistes autour de la thématique de la patrimonialisation alternative et de l’engagement artistique.
Porté par Valérie Gélézeau, ce projet - qui rassemble l’EHESS, l’EFEO et l’ENS - part d’une perspective engagée et située pour analyser depuis la Corée du Nord un objet négligé par la recherche urbaine française et occidentale : la ville asiatique post-socialiste. Dans une approche transdisciplinaire, la méthodologie combine une approche par aires culturelles avec les études transversales et comparatives sur la ville. La mise en oeuvre du projet s’appuie sur la coopération avec l’Université d’architecture de Pyongyang.
Ce projet, porté par Barbara Morovich, étudie les stratégies artistiques et citadines de fabrication de mémoires alternatives dans des quartiers défavorisés de Strasbourg (France) et de Johannesburg (Afrique du Sud). Il vise à favoriser le croisement des recherches et à permettre la naissance de projets transdisciplinaires, grâce à une démarche de co-production des savoirs avec des groupes défavorisés. La méthodologie implique des techniques numériques et sonores, dont les capacités à produire de nouveaux outils de collecte et de mise en valeur des récits citadins sont analysées.
Dans le cadre du projet « Frontières mobiles » de l’Institut Universitaire de France et du projet européen « EU-Borderscapes » portés par Anne-Laure Amilhat-Szary, qui s’attachent à l’étude des relations entre art et frontières, j’ai réalisé une mission de recherche de trois semaines à la frontière de l’Afrique du Sud et du Zimbabwe. L’objectif était de recenser et d’analyser les projets artistiques se produisant dans cette région, afin de déterminer en quoi l’art produit à la frontière était influencé par la présence celle-ci et pouvait transformer les représentations qui lui sont attachées.
Ce programme, porté de 2007 à 2012 par P. Gervais-Lambony, se proposait de réfléchir à la notion de « justice spatiale », c’est-à-dire à la dimension spatiale des inégalités sociales, en confrontant des villes d’Afrique et d’Amérique du Sud. En faisant partie de cette ANR à partir de 2009, j’ai participé à l’écriture d’un ouvrage collectif.