Le département de géographie organise régulièrement des colloques et des journées d’études dont une partie est désormais accessible en ligne.
Conférences en ligne : ici
Hubert Védrine, "Les États européens et le monde" (27 janvier 2009) : ici
Table-ronde autour des "zones humides" (12 décembre 2009) : ici
Journée d’études : "Dessiner le monde : une exploration des imaginaires cartographiques" (22 janvier 2010) : ici
Portrait de villes américaines à l’âge global : ici
Journée (...)
Le département de l’ENS organise des journées d’études. Pour consulter les présentations et les compte-rendus, cliquer sur les liens. Transports cartographiques. La carte et l’imagination par Gilles Palsky (Paris I) Réintégrer l’agriculture dans les territoires en France et en Europe ? par Matthieu Calame (Fondation Charles Léopold Mayer pour le progrès de l’homme) Réforme agraire et transformations sociales au Nordeste brésilien par Benoît de l’Estoile (ENS), Christian Baudelot (...)
À l’occasion de la sortie de l’ouvage de F. Verger, Les zones humides du littoral français, le département de géographie de l’École normale supérieure associé au Comité national français de géographie (CNFG), a organisé le 12 décembre 2009 à 14h à l’École normale supérieure une après-midi thématique autour des zones humides.
Le département remercie l’ensemble des intervenants pour leur présence et leur présentation. Thématique
Longtemps laissées en déshérence, les zones humides ont connu depuis le Moyen-Âge une (...)
Journée d’études organisée par Robin Beaumont, élève au département de géographie. Présentation
« Sur cet immense tableau d’une nuit céruléenne, la rêverie mathématique a écrit des épures. Elles sont toutes fausses, délicieusement fausses, ces constellations ! Elles unissent, dans une même figure, des astres totalement étrangers. Entre des points réels, entre des étoiles isolées comme des diamants solitaires, le rêve constellant tire des lignes imaginaires. »
Dans cet extrait fameux de L’air et les songes, (...)
Objet de la journée d’étude
Les villes sont généralement présentées et analysées comme des entités s’inscrivant dans un récit national et de ce fait relevant d’une trajectoire commune située à l’interface entre l’affirmation d’une identité nationale et le jeu d’une large diversité d’acteurs économiques.
Ce cadre analytique s’avère moins pertinent à l’heure où la dynamique du capitalisme est moins cantonnée à l’échelle du territoire national et participe de l’espace des flux globaux se déployant souvent à l’échelle (...)